mercredi 25 février 2009

Dernière minute - Saint-Béat - Ecole en danger



Dans le document préparatoire de carte scolaire remis aux syndicats, l'IA prévoit la fermeture du poste de soutien, pourtant nouvellement créé sur l'école de St-Béat.

Comité Technique Paritaire le 2 mars - CDEN le 6 mars

vendredi 20 février 2009

Alors là ! On en tombe sur le cul !!!

Photo prise à l'école des Salines de Tuléar (Madagascar).
Cherchez bien. Si, si ... Il y a quelque chose à voir.
Le premier qui trouve gagne un autocollant.

Réaction immédiate de l'Inspecteur d'Académie de la Haute-Garonne, qui n'est pas très fort en géographie (et encore moins en histoire) :

jeudi 19 février 2009

La proximité de l'école est à défendre sur le terrain

Entretien avec Jean Milési
«La proximité de l'école est à défendre sur le terrain»

A l'heure où les comités départementaux de l'éducation nationale (CDEN) vont se réunir pour prendre connaissance des projets de carte scolaire de la rentrée 2009, Jean Milési, maire de Mélagues, vice-président du conseil général de l'Aveyron et secrétaire de l'association Ecole & Territoire, rappelle toute l'importance qu'il y a à ce que les élus de montagne restent mobilisés pour défendre leur école de proximité.


PLM: La réorganisation des services publics d'Etat atteint-elle l'école?
Jean Milési : Indirectement, mais sûrement. Le contexte de rigueur budgétaire, qui incite à gérer les effectifs d'enseignants au plus serré, et le développement des intercommunalités, constituent deux tendances en elles-mêmes peu propices à la dissémination des écoles sur les territoires. L'école enmilieu rural ressent les effets des 13500 suppressions de postes annoncées pour cette année, dont 4500 concerneraient le primaire.
La systématisation des établissements publics d'enseignement primaire (EPEP), si elle part de la logique saine d'un service de l'éducation territorialisé et contractualisé, risque, si l'on n'y prend garde, d'aboutir à terme à un transfert croissant des charges financières sur les collectivités locales, avec le risque de créer une offre d'éducation à la carte en fonction des niveaux de richesse locale.
PLM:Dans un contexte de réduction globale des effectifs, comment défendre le maintien des classes uniques et des petites structures?
J.M.: Par lamobilisation et la persuasion. Il faut être présents sur le terrain, auprès des inspections d'académie et au sein des CDEN, pour rappeler les apports bénéfiques de la proximité de l'école en milieu rural et de l'enseignement en petite structure : meilleurs résultats pédagogiques, qualité de vie scolaire, économie de transport (et gain de sécurité), apport substantiel à l'aménagement du territoire.
On peut concevoir que pour l'Education nationale le plus faible taux d'encadrement en milieu rural représente un effort substantiel.
Il ne faut pas pour autant que cette dernière reste aveugle aux lourds efforts consentis par les collectivités et à l'attente des parents qui ont le souhait légitime de scolariser leurs enfants près de chez eux.
PLM:Contester les fermetures d'écoles devant les tribunaux administratifs est-il payant?
J.M.: La judiciarisation des fermetures d'école est un prolongement logique de la détermination dont je parlais à l'instant. Bien souvent, les modes de gestion pratiqués par les inspections d'académie et les rectorats s'affranchissent des règles pour l'appréciation des effectifs scolarisés, par exemple, ou dans la conduite des consultations préalables.
Les activités d'Ecole & Territoire, qui assiste souvent des collectifs d'élus locaux et de parents dans ce type de contentieux, montrent que nombre de fermetures ne sont pas inéluctables. Et lorsque les recours introduits ne se soldent pas par des réouvertures de classes, leur trace témoigne aumoins de la réalité de la demande en matière d'école de proximité. Or, n'oublions pas que, selon la loi, l'offre de services publics doit tenir compte et s'organiser à partir des besoins réels des populations.


Article du numéro 191 de Pour la montagne (ANEM)

dimanche 15 février 2009

Clin d'oeil pour les Hautes-Pyrénées : "fôpavoulécéfère !!!"

On vient de nous faire parvenir cet article de "La Semaine des Pyrénées" relatant une bagarre qui se déroule en ce moment-même chez nos voisins des Hautes-Pyrénées, dans le canton de Campan.
Notre enquêteur y a découvert des indices troublants. Serez-vous aussi perspicaces que lui ?

mercredi 4 février 2009

Luchon - Mme et M. Denard, parents d'élèves de l'Ecole Primaire Publique, remettent l'Inspecteur d'Académie à la place qu'il n'aurait pas dû quitter

Revue de presse - La Gazette du 4 février 2009



L'école rurale, école modèle ?

"Dans le milieu rural, il existe une mobilisation sociale très forte autour des questions scolaires. Cette implication des parents, des collectivités est très visible au moment de la carte scolaire et du refus des fermetures de classes. Cette réalité est la même en Europe et on a observé les mêmes phénomènes au Vénézuela". Est-ce là la clé du succès des écoles rurales ? Dans Fenêtres sur cours n°324, un dossier laisse découvrir ces écoles qui savent se fondre dans leur communauté. Des instits en montrent les particularités. Un maire témoigne de son attachement. Yves Alpe (Université de Provence) tente d'expliquer cette réussite.
... ...

Lire le dossier complet de Fenêtres sur cours n° 324 (revue du SNUipp)

mardi 3 février 2009

Sachons prendre de la hauteur

Dernière minute - Luchon - 1er recul de l'IA


L'action, ça paye !
Ca n'a pas fait long feu.
De retour de Toulouse, le Proviseur vient d'annoncer ce soir au Conseil d'Administration du lycée de Luchon que le poste d'Agent Comptable est maintenu.
On devine que l'IA n'a pas fait cette reculade de gaieté de coeur.

Il reste pourtant à poursuivre la mobilisation pour le poste d'infirmière, la décision étant suspendue pour la mi-mars. Il paraîtrait que l'IA était persuadé qu'à Luchon il y avait encore un SAMU !!! Encore un qui croit que les services publics ça existe encore par ici ...

Revue de presse - La Dépêche du 3 février 2009

dimanche 1 février 2009

Appel urgent de Luchon

Aux élus, parents et citoyens,

Régulièrement reviennent de graves menaces sur nos écoles, collège et lycée.
Ripostons dès aujourd’hui : lisez la lettre ci-jointe, diffusez-la et prenez quelques minutes pour l’envoyer aux principaux intéressés :

olivier.dugrip@ac-toulouse.fr
Jean-Louis.Baglan@ac-toulouse.fr

Si chacun d’entre nous envoie ce courrier, nous ferons changer les choses. L’expérience prouve que la mobilisation, la communication sont des armes pacifiques mais efficaces contre la politique de l’inspection académique.